Camille W. dite Helluvah est une musicienne française,
Sa musique est inspirée par des artistes comme PJ Harwey, Shannon Wright, Cat Power et par le rock anglo-saxon indépendant en général. Elle écrit et chante en anglais, et sa musique peut être décrite comme du rock indépendant nerveux et délicat, aux accents doux-amers.
Vendredi 7 novembre20h30
Duo Volubilis
Formé de Noam Duboille au piano et Raphaël Dumont aux saxophones, tous deux lauréats du REZZO Jazz à Vienne, "VOLUBILIS " propose un dialogue sans filet entre deux générations de musiciens. Dans un flot mélodique lumineux et joyeux, alternant compositions issues de leurs répertoires respectifs, reprises voire quelques détournements inattendus ; nos deux musiciens donnent libre cours à leur inventivité pour cet instantané du jazz d'aujourd'hui !"
Vendredi 21 novembre 20h30
Square
Olivier, Christophe, Jérome, Fabrice et Thierry, forment Square. Avec "Comme la nuit", le groupe, fait un pari audacieux : celui de se dévoiler à travers des textes profondément personnels. À mi-chemin entre journal intime et poésie, les chansons s’inscrivent dans la grande tradition de la chanson française rock, évoquant l’ombre de Bashung. Chaque morceau invite à une plongée dans des sentiments bruts et sincères, illuminés par des arrangements soigneusement travaillés.
Vendredi 19 décembre 20h30
Seb Martel "Saturne 63"
Une idée court dans le parcours et la discographie de Seb Martel, l’un des guitaristes les plus passionnants et néanmoins méconnus de la scène hexagonale. Cette idée, c’est qu’un instrument peut, et doit, continuellement réinventer une musique, déployer de nouvelles textures, amener de nouvelles nuances. C’était évident dans ses albums enregistrés en solitaire : Ragalet en 2003, Coitry? en 2007. C’était perceptible dans ses productions collectives (Vercoquin, Olympic Gramofon, Las Ondas Marteles) ou ses expériences en tant que musicien de studio (pour -M-, Alain Chamfort, Femi Kuti ou Camille). C’est tout aussi frappant à l’écoute de son nouvel album : « Saturn 63 », nommé en référence au dernier modèle de guitare électrique découvert lors d’une collaboration avec le Musée de la Musique. Ce troisième long-format, ouvertement porté sur l’expérimentation, est effectivement le fruit d’une longue réflexion, rendue possible à la faveur d’une collaboration entre la Philharmonie de Paris et InFiné : entamée avec « InBach » d’Arandel, celle-ci se poursuit aujourd’hui à travers un disque entièrement pensé à la guitare.